Tag Archive: Music



Clémentine – Onglet Bibliothèque

J’avais vu passer une info sur un nouveau player appelé Clémentine.
Fedora 14 étant désormais installé, j’ai installé ce player afin de le tester et de vous en parler.
Effectivement celà ressemble fort à Amarok, et bien qu’écrit en QT, je sens ce player beaucoup plus léger de prime abord que ne peut l’être le player fétiche de KDE.
Autre avantage si, comme moi, l’on est sous Gnome, aucune dépendance de KDE ne s’installe !
Comme vous le voyez dans le tableau de bord, un joli quartier de clémentine représentant le player s’y trouve.


Clémentine – Onglet Fichiers

Comme le montre l’image ci-dessus quatre onglets sont présents :

  • Bibliothèque
  • Fichiers
  • Internet
  • Périphériques
  • Ce qui permet d’accéder facilement à ses fichiers si l’on veut juste ajouter un morceau sans avoir à demander à Clémentine de mettre à jour la bibliothèque.
    L’onglet Internet vous permet d’écouter Last FM, SomaFM, Magnatune ou d’ajouter vos propres flux radios.
    Pratique.


    Clémentine – Onglet Internet

    Il y a une fonction très pratique via le menu outils – gestionnaire de jaquettes où vous pouvez récupérer les jaquettes manquantes pour chaque album, je ne sais si celà est présent sur Amarok, mais j’aime le fait que celà soit intégré d’office dans ce Player.
    Une capture d’écran ci-dessous pour voir à quoi çà ressemble.


    Clémentine – Gestionnaire de jaquettes

    Bien entendu toujours via le menu outils, il y a aussi un gestionnaire de file d’attente, égaliseur, visualisation et surtout un outil pour transcoder de la musique.
    Je n’ai pas testé mais je troouve celà intéressant.
    Et l’on retrouve d’autres fonctions présentes dans d’autres player du même type, comme Amarok.
    A mesure que la lecture se fait le quartier de Clémentine présent dans le tableau de bord avance en même temps, passant du orange au gris, avertissant de la fin proche de la chanson.


    Clémentine – Morceau défilant

    Au final un player vraiment très sympa, bien plus léger et bien moins mastodonte qu’ Amarok ou Exaile, à découvrir pour celles et ceux qui aiment ce type de player.
    Petit regret minime, qu’il ne soit pas présent dans la liste des players proposés par gnome-music-applet.
    Mais c’est un moindre mal 🙂

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    INSTALLATION

    Plusieurs choix s’offrent à vous :

  • Télécharger directement sur le site de Clémentine le .deb ou le .rpm ( pour Fedora 13 )
  • Fedora 14 : Clémentine est présent dans les dépôts donc un simple :
  • yum install clementine

    Pensez à installer les dépôts rpm fusion free & non-free, si ce n’est pas fait : Dépôts RPM Fusion Free & Non-Free Fedora

  • Ubuntu : un ppa existe : PPA Clémentine valable pour Maverick, Lucid & Karmic.
  • sudo add-apt-repository ppa:riccetn/clementine
    sudo apt-get update
    sudo apt-get install clementine

    Un player très agréable et séduisant, léger qui a plus d’un atout et un bel avenir je pense.
    A vos tests et réponses en commentaire.
    Enjoy 🙂

    Noomiz – La music en réseau social

    C’est via Fredzone que j’ai découvert Noomiz.
    Qu’est ce que Noomiz ?
    On pourrait dire que c’est un réseau social, un de plus dira t’on, mais musical celui-là, dont l’objectif ciblé est de rapprocher les internautes d’artistes en devenir.
    Le service vient à peine d’ouvrir au public, car présent depuis un certain temps déjà sur le web.

    Noomiz se situe à mi-chemin entre Myspace et Facebook.
    Chacun dispose d’un mur et les possibilités sont assez nombreuses :

    • Possibilité de deux profils : membre ou artiste
    • Classement des artistes en fonction de critères sociaux ou goûts musicaux
    • Possibilité d’ajouter un membre ou un artiste à ses amis et discuter avec lui/elle.
    • Partage de musique sur Facebook / Twitter / MySpace.
    • Possibilité de créer des playlists thématiques.
    • Accès à un calendrier complet pour voir les concerts près de chez soi.
    • Possibilité de créer son propre site.
    • Accès à un lecteur exportable.

    Je découvre ce service, le site est bien fait, beau design en flash !
    Noomiz reste plus léger et fonctionnel que le trop lourd Myspace.
    Mais avant de comprendre le fonctionnement de Noomiz, il convient de le parcourir un bon moment avant d’en découvrir toutes les subtilités.
    Le site est très riche, mais la prise en main est aisée.
    Ceci dit, musicalement, il y a de la qualité, quelque soit le genre exploré.
    Et si tout le monde n’est pas tout à fait d’accord avec la politique de Jamendo, je cherche encore sous quelle Licence fonctionne Noomiz.

    J’ai contacté Anne Baron par téléphone hier, qui m’a très gentiment rappelé ce matin.
    Donc comme je l’avais bien compris en lisant les CGU de Noomiz, les artistes peuvent être soit sous Ⓒ copyright et enregistré à la Sacem, soit sous Creative Commons, soit sans aucune licence aussi.
    Tout dépend d’eux, de leur vécu et expériences professionnelles.
    Mais Noomiz n’est pas, comme peut l’être Jamendo, une plateforme de téléchargement, mais plutôt un réseau social de mise en rapports d’artistes et d’internautes.
    On imagine facilement l’étendue des possibilités, les artistes qui cherchent d’autres musiciens, des internautes succeptibles de proposer des lyrics, recherche de concerts, découverte de talents nouveaux et bien plus encore.

    Est-ce que Noomiz pourra s’inscrire dans la durée et arriver à percer sur un marché déjà bien encombré.
    Beaucoup de sites émergent car le réseau social est à la « mode ».
    Mais, comme c’est arrivé pour les forums, trop de réseaux sociaux ne sera t’il pas néfaste ?
    A une époque dite de communiquation, les gens s’isolent de plus en plus chez eux pour aller sur des réseaux sociaux et se faire des amis…
    Mais beaucoup de personnes ont du talent et du mal à se faire connaître, c’est là que Noomiz me semble très utile et novateur.
    Un réseau social musical est bien vu, la musique n’a ni frontière, ni barrière de langue et c’est bien la chose que l’on a envie de partager le plus au monde.
    Arriver à se démarquer est difficile, et c’est ce que Noomiz tente habilement de faire.
    Je ne saurai que vous conseiller d’aller faire un tour sur Noomiz et de le tester, vous pourriez être agréablement surpris 🙂
    Noomiz peut devenir une véritable plaque tournante musicale, où peuvent se mêler talents inconnus et artistes renommés !
    Il y a, un vrai créneau à prendre à l’heure où les maisons de disque ont trop tardé à innover et Noomiz l’a bien compris.
    Le modèle musical a évolué et Noomiz amène une vraie fraîcheur et originalité dans le milieu artistique et musical.
    S’insinuant aisément entre Myspace, Facebook et Jamendo.
    Une vraie belle découverte !!
    Mon pseudo sur Noomiz : Phantom.

    Contrat Creative Commons
    This création is licensed under a Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale 2.0 France License.

    A la manière de certains add-ons disponibles pour les scripts Irc qui permettent de dire ce que l’on écoute, Rhythmbox MicroBlogger est un nouveau plugin qui permet d’envoyer sur Twitter ou Identi.ca la chanson, en cours, que vous écoutez.
    Le format de chanson est complètement edibable et il vous laisse également éditer le message que vous enverrez sur Twitter et/ou Identi.ca, vous pouvez aussi modofier le messagee ou ajouter d’autres détails divers avant de poster.
    Vous pouvez ajouter autant de comptes que vous le souhaitez, l’identification Oauth est active et celà fonctionne parfaitement.

    Pour l’installer, deux méthodes:

    Soit en console avec les commandes suivantes:

    cd ~/.gnome2
    mkdir -p rhythmbox
    cd rhythmbox/
    mkdir -p plugins
    cd plugins/
    wget http://github.com/downloads/aliva/rhythmbox-microblogger/rhythmbox-microblogger-0.4.tar.gz
    tar -xvf rhythmbox-microblogger-0.4.tar.gz

    Soit manuellement, pour celles et ceux désireux de ne pas passer par le terminal:

    Téléchargez rhythmbox microblogger puis allez dans :

    ~/.gnome2/rhythmbox/plugins

    Créér les dossiers s’ils n’existent pas et y décompresser rhythmbox microblogger.
    Ouvrez ensuite rhythmbox, et dans les greffons vous verrez apparaître un nouveau greffon appelé : microblogger.
    A configurer suivant que vous utilisiez Twitter et/ou Identi.ca.
    Pour Twitter celà va vous renvoyer vers le site pour l’autorisation, copier/coller le code pin et voilà.

    Si vous avez bien regardé la première capture d’écran vous avez du y voir un joli bouton twitter 🙂
    Cliquez dessus et ensuite sur send pour tweeter la chanson que vous écoutez tout simplement.
    Attention de ne pas trop spammer votre TL (TimeLine) avec trop de chansons, ceci dit un greffon fort sympathique que j’apprécie beaucoup.
    Fait sur Fedora 13, mais valable pour toutes les distributions Linux ayant un environnement Gnome.
    Une idée, un avis, une question, les commentaires sont là 😉

    Source: webupd8.org

    Il est des billets qui sont si durs à commencer et que l’ on aimerait ne jamais avoir à écrire.
    Je savais qu’ il était malade, n’ ayant pas le net à ce moment là, je n’ ai appris qu’ à mon retour que son âme avait quitté son corps.
    Même si on pouvait s’ y attendre, le choc fut rude, brutal, violent, comme un mur qui vous arrive en pleine gueule !
    C’ est quelqu’ un que j’ ai vu en concert lorsqu’ il était dans Black Sabbath et avec son propre band Dio et que j’ ai eu la chance de rencontrer.
    Il était d’ une gentillesse extrême, toujours de bonne humeur, déconnant souvent, très ouvert, une anti-star comme il y en a très peu dans ce milieu.
    Une voix reconnaissable entre mille, une des plus grandes voix du Hard-Rock de ces trente dernières années.

    Ronald James Padavona ( son vrai nom ) est né le 10 juillet 1942 à Portsmouth, dans l’État du New Hampshire, seul enfant d’une famille italienne.
    Il est parti le 16 mai 2010 à l’âge de 67 ans d’un cancer de l’estomac, avant de décéder, il collaborait avec d’autres membres du groupe Black Sabbath – Tony Iommi, Geezer Butler et Vinny Appice -, au projet Heaven & Hell, dont l’unique album studio, « The Devil You Know », est sorti le 28 avril 2009.

    Après qu’il ait terminé son cursus scolaire, ses parents le poussent à étudier la pharmacologie à l’Université de Buffalo.
    Mais la musique a toujours été sa vocation première.
    Il a d’abord joué de la trompette et du cor français et a même enregistré plusieurs singles avec différents groupes au cours de son enfance. Toutefois, il refuse une bourse d’études pour la Juilliard School of Music, souhaitant laisser libre cours à sa passion pour la musique Rock.
    Il participe à des petits groupes jusqu’ à ce qu’ il forme un groupe d’abord appelé ‘ The Electric Elves ‘ qui se rebaptisera ‘ Elf ‘.
    C’est en tant que chanteur de Elf qu’ il participera à l’ album de Roger Glover ( Bassiste de Deep Purple ), « The Butterfly Ball and the Grasshopper’s Feast ».
    Il chante en particulier sur le titre « Love Is All », qui rencontrera un immense succès international.

    C’est ce groupe qui rejoindra Ritchie Blackmore pour former Rainbow.
    Une collaboration qui durera quatre ans, quatre albums et qui donnera des incontournables comme ‘ Man On The Silver Mountain ‘.

    Avec Rainbow, la carrière de Dio connait, selon son propre aveu, un grand changement. Bien qu’il reconnaisse que Rainbow soit avant toute chose le groupe de Ritchie Blackmore, Dio revendique une importante participation dans la réalisation de ses trois premiers albums, « Ritchie Blackmore’s Rainbow », « Rising » et « Long Live Rock’N’Roll »[8]. En désaccord avec l’orientation que Blackmore souhaite donner au projet pour l’ouvrir à un public plus large, Dio met un terme à leur collaboration en 1978, et entreprend de se lancer dans une carrière solo.

    En 1979, il rejoint finalement Black Sabbath en remplacement d’Ozzy Osbourne.
    Il enregistre avec eux « Heaven and Hell » (1980) et « Mob Rules » (1981).
    Là encore des incontournables resteront gravés à jamais comme « Neon Knights », « The Mob Rules », « The Sign Of The Southern Cross » et l’ inévitable « Heaven And Hell ».

    Des tensions se font rapidement jour entre les différents membres du groupe, Dio et le batteur Vinny Appice claquant finalement la porte au cours du mois d’octobre 1982, lors du mixage de l’ album « Live Evil » au sujet duquel s’ étaient cristallisés plusieurs désaccords.
    Durant son passage au sein de Black Sabbath, Dio popularisa le signe des « cornes » utilisé par les fans de heavy metal.
    Il s’agit à l’origine d’un geste de protection spirituelle utilisé par sa grand-mère italienne contre tout personnage malveillant.
    Désireux de continuer à travailler ensemble, Ronnie James Dio et Vinny Appice fondent le groupe Dio juste après leur départ de Black Sabbath.
    Dans le courant du mois de mai 1982, la nouvelle formation sort son premier album, « Holy Diver ».

    Entre les albums studio et les albums live, il n’ y aura pas moins de quatorze albums avec son propre groupe.
    Durant la tournée promotionnelle de « Lock Up The Wolves », Ronnie James Dio rencontre de manière fortuite le bassiste Geezer Butler.
    Les deux hommes initient une re-formation de Black Sabbath, avec Tony Iommi à la guitare et Appice à la batterie.
    Le groupe réunifié donne plusieurs concerts et enregistre en 1992 un album, « Dehumanizer », qui suscitera une importante controverse. Il permet néanmoins une résurrection commerciale de Black Sabbath, en faisant entrer le groupe dans le Top 40 des ventes au Royaume-Uni et en 44ème position dans le classement états-unien Billboard.

    En octobre 2006, Black Sabbath se reforme avec Tony Iommi à la guitare, Geezer Butler à la basse, Vinny Appice à la batterie et Ronnie James Dio au chant.
    Le groupe reconstitué entame une tournée internationale intitulée « Heaven & Hell », en hommage au premier album enregistré avec Dio.
    Pour marquer l’évènement, une compilation reprenant les meilleurs titres des albums « Mob Rules », « Dehumanizer » et « Heaven and Hell », ainsi que trois nouveaux titres originaux paraît le 3 avril 2007 sous le titre « The Dio Years ».
    Pour se démarquer d’Ozzy Osbourne, qui reste en principe le chanteur officiel de Black Sabbath, Tony Iommi et Geezer Butler entreprennent de rebaptiser le quartet « Heaven & Hell », ce qui permet en outre de se concentrer sur les seuls titres de la période Dio.
    Le batteur originel Bill Ward était initialement impliqué dans ce projet, mais il a finalement été remplacé par Vinny Appice, avec lequel les trois autres membres avaient enregistré deux albums et un live.
    En aout 2007, Heaven & Hell publie un double album live, « Live from Radio City Music Hall », enregistré quelques mois plus tôt à New York. L’année suivante, le groupe se consacre à une tournée mondiale de 98 dates.

    Heaven & Hell sort son premier album, intitulé « The Devil You Know », le 28 avril 2009.
    Acclamé par la critique et marqué par un modeste succès commercial, il devait normalement être suivi d’un second enregistrement dans les mois suivants.
    Il s’ ensuit une tournée promotionnelle conclue le 29 aout.

    Le 25 novembre 2009, sa femme et manager Wendy annonce qu’ on lui a diagnostiqué un cancer de l’estomac.
    Début mai 2010, les concerts de Heaven & Hell prévus durant l’ été sont annulés à cause de son état de santé.
    Il meurt le 16 mai 2010 des suites de son cancer à Houston dans le Texas (U.S.).
    Il est inhumé a Los Angeles, cimetière Forest Lawn Memorial Park, Hollywood Hills.

    Et un petit inédit, Ronnie James Dio avait enregistré avec LE maître, Yngwie Johann Malmsteen, une chanson d’ Aérosmith : « Dream On »

    Goodbye my friend, Long Live Rock’n’Roll !!!

    [Lyrics] « Partir »

    Il m’arrive, à mes heures perdues, d’écrire des paroles de chansons.
    Je vous propose celle-ci qui date de 2009.

    Quand plus rien ne me retiendra
    Quand il faudra tourner la page
    Quand le jour se lèvera
    Quand je serai devenu sage

    Alors je partirai

    Dans le calme d’un petit matin
    Des perles de rosée dans le coeur
    Délaisser ma vie de bonne heure
    Sans filet suivre ce chemin

    Alors je partirai

    Une fois pour toutes, tourner cette page
    D’autres rivages et paysages
    D’autres visages, d’autres soleils
    D’autres matins, d’autres réveils

    Alors je partirai

    Regrets et rancoeur comme bagages
    Partir pour ne pas faire naufrage
    Partir pour ne plus subir
    Partir et ne plus revenir

    Alors je suis parti

    Beaucoup d’amour dans mes bagages
    De compassion pour ce voyage
    Pas de route tracée à l’avance
    Suivre son instinct, tenter sa chance

    Alors je partirai

    Je ne sais si je reviendrai
    Mais je sais que là où j’irai
    Sans cesse à toi je penserai
    Dans mon coeur je t’emmenerai

    Alors je partirai, je partirai….

    Stéphane L. ©2009